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Dragon Ball Z a connu de nombreux combats incroyables, mais peut-être le plus violent était celui entre Videl, presque sans défense, et le vindicatif Majin Spopovich.
Dragon Ball Z est connu pour ses scènes de combat épiques, avec des Saiyans, des Namekiens et tout le monde entre eux se battant comme des dieux en chair et en os. Bien sûr, ce sont parfois des humains apparemment normaux qui s’engagent dans les combats, et ces affrontements ne sont pas moins intéressants. En fait, ce sont deux humains qui étaient les combattants dans l’un des combats les plus pénibles de la série, et le résultat était carrément torturant.
Videl est la fille d’Hercule Satan et a également été formée par son futur mari Gohan. Malgré son grand potentiel de combat, elle n’était tout simplement pas de taille face au combattant vil Spopovich, qui brutalisait véritablement la jeune femme. Le pire de tout, c’est que le public se contente de regarder son agression, rendant le combat encore plus choquant.
La pire déculottée de Dragon Ball Z impliquait en fait deux humains
Pendant la saga du Tournoi de Dragon Ball Z, la fille d’Hercule, Videl, affronte le combattant à la musculature imposante, Spopovich. Au début, il semble surpassé par la jeune femme plus petite mais plus rapide, qui le met à terre plusieurs fois. Cependant, sans que Videl ni les autres participants du tournoi ne le sachent, il était sous le contrôle magique de Babidi. Cela augmentait sa force déjà grande et renforçait encore sa volonté, lui permettant de se relever après des coups qui l’auraient normalement mis KO. Égalant le pouvoir de vol de Videl, Spopovich l’utilise immédiatement comme un punching-ball humain.
Les attaques de Spopovich augmentent en furie et en force, et lorsqu’il cesse simplement de molester Videl, il s’ensuit immédiatement le fait de la balancer comme une marionnette. Même lorsqu’elle se sauve d’une chute hors du ring, sa vaillance n’est récompensée que par plus de violence. La série d’attaques absolument horrifiantes de Spopovich semble durer éternellement pour les spectateurs, faisant jaillir le sang et les gémissements de douleur de son adversaire. Il la frappe, lui piétine et se moque d’elle, en grande partie à cause de sa colère refoulée d’avoir été battu autrefois par son père. Ce sont les paroles de son partenaire, Yamu, qui l’empêchent d’écraser sa tête comme une pastèque en pleurs, ce qui montre à quel point l’épreuve a été vicieuse.
Videl contre Spopovich a été le combat le plus cruel de Dragon Ball Z
Comme mentionné précédemment, Videl parvient à infliger quelques coups en début de combat, mais après cela, elle devient indéniablement le jouet de Spopovich. Le pire de tout est à quel point elle est impuissante, chaque coup provoquant une réponse douloureuse, meurtrie et brisée. La foule réagit lorsque les gens pensent que Videl l’a tué, mais quand il enfonce très clairement et impitoyablement ses poings en elle comme s’il s’agissait d’un nouveau gant, ils restent en grande partie silencieux. C’est peut-être l’élément le plus effrayant du combat, car les spectateurs du tournoi avaient été conditionnés à ne pas intervenir contre ce qui aurait pu être un meurtre, car cela avait été présenté comme un combat d’arts martiaux.
D’autres combats dans Dragon Ball Z sont épiques et brutaux à leur manière, notamment le conflit entre la Force Ginyu et le jeune Gohan. Dans ces cas, cependant, ce ne sont pas des sports de spectacle publics où les combattants sont encouragés à se battre jusqu’à la mort. Après tout, si Videl devait être disqualifiée pour avoir tué son adversaire, l’intention réellement meurtrière de Spopovich méritait une réprimande similaire.
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De même, Videl est la fille du célèbre M. Satan, ce qui devrait logiquement inciter le public à la protéger un peu en raison de la célébrité de son père. Cela souligne encore davantage à quel point il était horrible que personne ne se souciait de sa vie ou de sa mort. Bien que d’autres combats aient eu des enjeux plus importants (notamment pour le destin de l’univers), il n’y a pas vraiment eu d’autres combats dans Dragon Ball Z ou ses suites qui ont aussi bien capturé ce sentiment de barbarie sombre.